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Clarifier le référentiel de gestion pour fluidifier le dialogue entre groupe et filiales

Le Départ

Comment rendre plus fluide et plus efficace le travail entre différentes entités d’un grand groupe ? Comment faire en sorte que les réunions de travail ne soient pas polluées par les incompréhensions entre les participants, qui utilisent un vocabulaire et des outils « presque pareils » ? Comment faire en sorte de ne pas passer la moitié de son temps à « rendre les chiffres comparables » ?

Nous accompagnons un grand groupe du luxe dans un programme visant à doter une dizaine de marques (soit autant de sièges sociaux, des usines dans 10 pays, 400 magasins sur les 5 continents) d’un « référentiel de gestion » commun, préalable à en place d’un système d’information commun.

Nous avons proposé une démarche mobilisant une quarantaine de représentants des comptables et contrôleurs de gestion issus de toutes les marques et toutes les zones géographiques.

Le Chemin parcouru

Analyser les plans de comptes actuels des différentes marques et leurs déclinaisons dans les 4 zones géographiques.

Formaliser rapidement un premier livrable :

  • une proposition de définition des informations financières communes, des indicateurs de performance et leur mode de calcul,
  • une mise en lumière des différences avec les pratiques antérieures des 8 marques.

Animer des réunions de travail avec les sièges des 8 marques et les représentants de marques dans chacune des 4 zones géographiques sur les écarts de la proposition (2 à 3 itérations).

Arbitrer sur les points durs résiduels en présence de tous les participants.

Mettre en place un pilote dans la zone Amériques (80 boutiques).

Les Accélérateurs

Recenser avec les intéressés les situations de crispation vécues afin de leur faire prendre conscience de l’urgence du changement et de commencer le travail par les points les plus critiques.

Proposer une maquette résolument « vite faite » permettant d’enclencher une démarche de construction collaborative, chaque personne impliquée pouvant proposer des modifications.

Eviter de se lancer dans un travail technique, normatif et centralisé mais se concentrer sur une démarche mobilisante.

À l’Arrivée

L’ensemble des comptables et contrôleurs de gestion dans le monde partage un « finance book » qui :

  • facilite le travail des centres de traitement comptables,
  • sert de fondations communes à l’ensemble des Systèmes d’Information,
  • permet le dialogue entre différentes marques, filiales à l’étranger et le Groupe.

Des notions comptables, indicateurs de management et processus financiers rendus plus pertinents à l’occasion du travail d’harmonisation.

Quels champs d’intervention concernés ?

Avec qui c’est fait ?